Eglise, programme renouvellement des verrières

 

Eglise Saint-Aubin


Au mois de janvier 2011, la commune a engagé un programme de création de vitraux pour redonner à son église une atmosphère qu'elle avait perdue depuis qu'une bombe est tombée devant le parvis en 1940.


En septembre 2014, une nouvelle verrière a été posée par Nicolas Jaguelin, maître verrier. Celle-ci vient de clôturer le programme des 17 verrières prévues en remplacement de celles qui disparurent lors du dernier conflit mondial.

Il ne restera plus à traiter que les deux baies du clocher, toujours murées. Deux anciens vitraux y seront logés après remise au format. Ce chantier étalé sur trois années a redonné à cet édifice patrimonial toute sa grandeur qui fait l'admiration des visiteurs. Il a pu être conduit grâce aux dons de généreux donateurs sous l'égide des associations APHL puis ASSAL, ajoutés aux baux consentis par les opérateurs de téléphonie mobile. Nous les remercions tout particulièrement.

 

 

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Décembre 2015

Ces deux vitraux réalisés par le maitre verrier Avenel, avaient été offerts par Monseigneur François de MAUNY en charge de la paroisse de Lévignen entre 1980 et 1986. Après avoir été restaurés, ils ont été posés dans les baies du clocher-tour de l'église, mettant en valeur la façade de l'église St Aubin.

 

Vitrail "Saint Aubin" :

 

 

Vitrail "Saint Jean l'Evangéliste" :

 

 

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Septembre 2014

Vitrail du "Christ sur la Croix" :

 

 

 

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Juin 2014

Vitrail du "Sermon sur la Montagne" :

 

 

 

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Janvier 2014

Saint-Aubin (468-550) a été, sur le tard de sa vie, évêque d'Angers. On lui doit d'avoir moralisé les bases du mariage et plusieurs miracles. Sa piété et son oeuvre auprès des déshérités en ont fait le saint patron d'Angers et de nombreux villages de France et de Belgique. On l'invoque pour les maladies d'enfants. Il est aussi devenu le patron des... boulangers et des pâtissiers.

Il est le saint patron de l'église de Lévignen. Merci aux généreux donateurs qui ont abondé la souscription.

 

 

 

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Août 2013.

L'opération de restauration des vitraux de l'église Saint-Aubin se poursuit. Deux nouvelles verrières viennent d'être posées par le maître-verrier Nicolas Jaguelin.

Tout d'abord, celle de l'Annonce faite à la Vierge Marie par l'Archange Gabriel et située au dessus de l'autel de la chapelle du bas-côté. Cette verrière est constituée de trois lancettes.

 

 

Tout dernièrement, c'est la verrière du Baptême du Christ par Saint-Jean Baptiste, deuxième Saint-Patron de l'église communale qui a fait l'objet de son remplacement. La précédente avait été offerte par le comte de Lévignen et son épouse.

 

 

 

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Mars 2012.

Verrière des Tondus : Cette verrière évoque une page importante de l'histoire des habitants de Lévignen quand, en 1313, Philippe 1er de Passy-Nanteuil affranchit la population de son domaine de Lévignen, soulevant un enthousiasme tel que les habitants se rasèrent le crâne d'allégresse d'où leur sobriquet de "Tondus". Pour plus amples informations, aller dans la rubrique "Histoire locale".

 

 

 

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Mars 2012.

Verrière Sainte Fontaine : Cette verrière évoque le miracle dit de la Sainte Fontaine qui s'est produit au Bois du Roi sur la commune de Lévignen. Il fut à l'origine d'un pèlerinage très suivi jusqu'au XIXème siècle. Pour plus d'informations aller dans la rubrique "Histoire locale".

 

 

 

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Octobre 2011.

Une verrière héraldique vient d’être posée. Elle porte les armes des Gorgias et des La Fontaine. Jean de Gorgias, dit Porc Epic, écuyer, acquit la seigneurie du Donjon de Lévignen en 1494 qui avait été auparavant cédée par Charles d’Orléans pour finir de payer sa rançon d’Azincourt. Il était aussi seigneur de Brégy.

Sa fille, Jeanne de Gorgias épousa Marc de La Fontaine. Ils achevèrent la construction de l’église en 1539. Marc de La Fontaine était grand officier de la Couronne et commissaire de l’artillerie du Roi. Leur fils, Antoine, seigneur de Lévignen, également commissaire de l’artillerie du Roi fut l’un des six gentilshommes qui portèrent en terre le corps de François, Duc de Montmorency, Maréchal de France, au mois de mai 1578.

Les La Fontaine descendaient, par alliance, de la Maison de Solare, riche famille originaire du Piémont, en Italie. Les La Fontaine-Solare possédaient également les seigneuries d’Ognon, d’Ormoy et de Vaumoise.

 

 

 

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Octobre 2011.

Une nouvelle verrière, dite figurative, cette fois, vient d'être posée à l'église Saint-Aubin. Toujours réalisée sous les pinceaux de Nicolas JAGUELIN, elle illustre la légende selon laquelle Saint-Hubert, au cours d'une partie de chasse lors du Vendredi Saint, s'est trouvé sermonné par une voix céleste venant au-dessus d'un cerf blanc fantastique portant entre ses bois une croix éblouissante.

Il reçut, de cette voix, sa mission d'évangéliser la région en signe de pénitence et devint, à la mort de Saint-Lambert, évêque de Tongres-Maastricht.

Ce Saint, très populaire, est devenu le saint patron des chasseurs et des forestiers. Il figurait jadis sur un vitrail de l'église. Ajoutons que la technique utilisée pour la réalisation de cette verrière est la même que celle utilisée au XVe et XVIe siècle, dite de la grisaille et du jaune d'argent.

 

 

 

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Septembre 2011.

Une nouvelle verrière héraldique comportant les armes des Comtes Lallemant de Lévignen (voir le bref historique de cette famille dans la rubrique "Histoire locale") a été posée dans l'église, côté nord.

Cette famille a rempli dans l'ancien régime un rôle important, les comtes ayant été successivement secrétaires du roi, intendant de la généralité d'Alençon, receveurs généraux des finances de Soissons, Fermiers généraux, conseillers du roi, Maîtres des requêtes en leur hôtel.

Très pieuse, cette famille a donné un évêque au diocèse de Séez.

Une verrière blasonnée existait jadis dans le coeur de l'église. Sur les murs, les armes ont été rendues visibles après dégagement de la litre funéraire.

 

 

 

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Mars 2011.

Une nouvelle verrière vient d'être posée.

Il s'agit encore d'une verrière héraldique comportant, cette fois, les armes de la famille de Monaco.

Marie-Catherine de Brignole, Princesse de Monaco, épouse du Prince Honoré III, acquit le domaine de Lévignen en 1780. Elle le conserva jusqu'en 1793, date à laquelle le château de Betz, résidence des comtes de Lévignen, fut vendu comme bien national. La Princesse de Monaco est une aïeule de SAS, le Prince Albert. C'est elle qui donna à la commune le terrain du cimetière pris sur l'emplacement de l'ancien château féodal. Une sente communale porte son nom.    

(Cette verrière héraldique a été offerte à la commune de Lévignen par LL.AA.SS. le Prince Albert II de Monaco et la Princesse Charlène, à l'occasion de Leur mariage le 2 juillet 2011).

 

 

 

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Février 2011.

Les deux premiers vitraux viennent d'être posés. Ils comportent, en médaillon, la salamandre, emblème de François 1er car l'église a été achevée en 1539, date à laquelle le monarque a signé l'édit célébre de Villers-Cotterêts instaurant l'état civil et l'usage du français dans les documents officiels.

 

 

 

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Janvier 2011.

Après consultation, c'est l'atelier Nicolas Jaguelin de Nogent-sur-Marne (94) qui a été choisi pour conduire ce programme qui entraîne la création de 17 verrières.

 

    

  

 

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